LAIT Le géobiologue a résolu les problèmes de cellules

«Je ne cherche plus à savoir d’ou viennent les courants comme je le faisais par le passé. Aujourd’hui, je crée une ceinture énergétique autour de l’exploitation. Cette ceinture va inverser en positif toutes les ondes telluriques négatives qui rentrent dans l’exploitation.»

Suite à des problèmes récurrents de mammites et de leucocytes sur l’élevage, le géobiologue a détecté des courants internes et externes influant sur la santé et les performances des vaches.

Par Nicolas Goualan - Article PAYSAN BRETON - Supplément du 27 Novembre au 3 Décembre 2015


« J’ai toujours eu des problèmes de mammites et de leucocytes sur mon troupeau de Prim’ Holstein », témoigne Christian Le Gaudu, éleveur à Tonquédec (22). Les « cellules » oscillaient entre 250 000 et 400 000, « avec même un pic à 500 000 sur un mois. » Les pénalités représentent une grosse perte pour l’éleveur : « J’estime perdre en moyenne 10 €/ 1 000 L rien qu’en leucocytes. » Les infections à répétition occasionnent aussi des frais et des pertes pour l’exploitation. « J’avais souvent des mammites compliquées nécessitant l’intervention du vétérinaire. Si je compte les frais vétérinaires et la perte de lait, cela me coûte autour de 250 € par vache soignée. »

Du courant traversait le robot

Christian Le Gaudu décide d’installer un robot de traite en 2010 dans le bâtiment existant et de rester en aire paillée. « Après l’installation du robot, j’ai fait passer un géobiologue pour tenter de résoudre ces problèmes récurrents de mammites et de leucocytes. Le premier qui est venu ne trouvait rien, le deuxième détectait du courant mais n’arrivait pas à le traiter efficacement. »L’éleveur était alors convaincu que ce courant avait une incidence sur ses animaux. « Je n’ai pas perdu confiance et j’ai contacté Philippe Le Pourhiet qui a une bonne réputation en élevage. Il m’a dit au téléphone que si les autres n’avaient rien trouvé, il ne pourrait certainement pas grand-chose. Il a quand même accepté de se déplacer pour établir un diagnostic. »

Philippe Le Pourhiet explique alors ce qu’il a détecté sur l’élevage : « Pour moi, le plus gros problème ici venait du courant qui traversait l’automate. La masse du robot était branchée sur la ferraille du caillebotis. Nous avons débranché la masse du robot ainsi que celle de la charpente métallique pour les relier à la terre principale. »

Pour le géobiologue, la base est de commencer par résoudre les problèmes internes avant de s’attaquer à d’éventuels courants vagabonds.

La traque aux courants vagabonds

Dans un deuxième temps, Philippe Le Pourhiet a traqué les courants vagabonds. « Ces courants peuvent venir des transformateurs, des éoliennes, des antennes relais, d’une usine, d’une clôture électrique voire même d’une prise de terre d’un voisin.» Le géobiologue a détecté des courants vagabonds passant sous le robot de traite et traversant l’aire paillée, ce qui explique les problèmes récurrents sur l’élevage. Il détaille sa méthode dans les grandes lignes :

« Je ne cherche plus à savoir d’ou viennent les courants comme je le faisais par le passé. Aujourd’hui, je crée une ceinture énergétique autour de l’exploitation. Cette ceinture va inverser en positif toutes les ondes telluriques négatives qui rentrent dans l’exploitation. »

Il préconise aux éleveurs de ne pas stocker de matériel à proximité du bâtiment d’élevage pour éviter les problèmes d’équipotentialité. « Si le matériel ne peut pas être mis à un autre endroit il faut le mettre sur des palettes ou sur des pneus pour l’isoler du sol. »


Philippe Le Pourhiet, géobiologue-radiesthésiste au secours d'une exploitation agricole.
Philippe Le Pourhiet, géobiologue-radiesthésiste et Christian Le Gaudu, éleveur de vaches laitières à Tonquédec

Des vaches moins nerveuses et une qualité du lait améliorée

Après le passage du géobiologue sur l’exploitation en août 2014, Christian Le Gaudu a observé des améliorations quasi-immédiates. « Le comportement des vaches a changé, elles ne sont plus nerveuses et moins regroupées sur l’aire paillée. Elles ne tapent plus au moment de la traite, alors qu’avant j’avais très régulièrement de la casse sur les faisceaux trayeurs. Les mamelles se vident mieux au moment de la traite, il n’y a plus de quartiers à demi-trait », se réjouit l’éleveur. Il constate aussi des animaux en meilleure forme et une consommation d’eau qui augmente. « L’eau domestique est conductrice, le courant passait par l’eau de boisson ce qui n’incitait pas les vaches à aller boire », analyse le géobiologue. Enfin, 2 à 3 mois après l’intervention, la qualité s’est améliorée. « Depuis le mois de janvier, je n’ai plus qu’une mammite ou deux de temps à autre. Par le passé, c’était en moyenne 4 par mois. Depuis le début de l’année, le taux cellulaire est toujours en dessous de 190 000 leucocytes ce qui ne m’était jamais arrivé. Aujourd’hui je suis plus serein et je vais au travail avec plaisir et sans stress. »

Conseils

Avant toute construction ou installation, demandez l'avis d'un géobiologue-radiesthésiste compétent.

Il va vous aider sur la qualité de vos emplacements (veines d'eau, failles...), sur le choix des matériaux (charpente bois ou galva), béton avec treillis ou fibré. Il est difficile de revenir en arrière. Les prises de terre électriques et les masses sont souvent une des premières problématiques lors de la mise en route de l'exploitation. Par exemple, on donne une valeur qualitative à la terre électrique seulement par sa valeur en ohms, et on vous dira que plus elle basse meilleure elle est. Sauf qu’il y a plusieurs autres paramètres dont on ne tient pas compte que je développe lors du diagnostic.

Dans le cas d'une construction existante, demandez un diagnostic qui va vous permettre de voir clair sur vos installations internes. Cela permet de rectifier rapidement les anomalies perturbatrices sur votre élevage et de mettre à jour les éventuelles pollutions électromagnétiques engendrées par les courants vagabonds.

Télécharger cet article au format .pdf

Philippe Le Pourhiet
Géobiologue-radiesthésiste

ME CONTACTER +